LE SHUKIAIDO DE ZERAN

LE SHUKIAIDO DE ZERAN

TSHIN DOKI MAO

(Lancement des membres supérieurs)

 

 

C’est à mes pratiquants d’Arts martiaux que je m’adresse, à ceux pour qui les théories des profanes n’existent plus, à ceux qui, comme moi, comprennent que l’humanité est depuis des siècles dans ces plus audacieux élans. Si le monde ne se fait pas bon, il se fait du moins meilleur. La science du bien et du mal est à jamais acquise ; le respect des choses saintes nous a rendu la foi de reconstruire les efforts de tous les hommes intelligents tendent aux mêmes but, et toute les grandes volontés s’attellent aux mêmes principes : soyons bon, soyons vrai, docile, tolérant, obéissant, soyons gentil, catholique, soyons humain : Le mal n’est qu’une vanité, ayons l’orgueil du bien et ne désespérons surtout pas. Ne méprisons pas les femmes, hommes qui n’est ni mère ni père ; ni sœur ni épouse ni frère. Ne réduisons l’estime à la famille, l’indulgence à l’égoïsme. Laissons sur notre chemin l’aumône de notre pardon à ceux qui le désir de se montrer à tous le monde pour dire qu’ils sont forts et que sauvera une expérience divine, comme le dire une théorie de nos ancêtres " il n’y a pas de remède que peut faire du bien sans faire de mal". Soyons de ceux qui croire que tout est dire peut. L’enfant est petit, il renferme l’homme, Le cerveau est étroit, il abrite la pensée, L’œil n’est qu’un point, il embrasse des lieux. Ne remarquons notre devoir sacré, le père, la mère (la famille) est toujours autorisée à écarter son fils de la mauvaise voie. Il serait inutile que le monde vieillisse, s’il ne se corrigeait pas. Comprenons seulement que la vie à parfois des nécessités cruelle pour le cœur, mais il faut si soumettre. Cependant songe qu’à coté de la jeunesse (vie) il y a la famille, qu’outre l’amour il y a des désirs ; qu’à l’âge des passions succède l âge ou l’homme, pour être respecté, à besoin d’être solidement assis dans une position sérieuse. Faisons de tel sort que nous, ne soyons pas victime de notre propre paresse ; prenons tous zèle pour lutter tous ensemble pour le bien difficile et non pour le mal facile. L’ennui sera le grand mal de notre vie.cet ennui même doit nous servir de pardon et d’excuse puisqu’il sera le châtiment de notre propriété passagère. Nous ne devions jamais devenir indifférents à toutes connaissances ; d’hier et ne songeait guère plus à la connaissance d’aujourd’hui qu’à la passion de demain. L’infortunée ! Nous avons besoin de solitude…nous nous voyons obsédés. Nous avons besoin de silence…nous entendons sans fin et sans cesse les même parole à mes oreilles lassés !nous voulons être calme !...on nous trainera pas tous et dans la vie, dans les tumultes. Nous voulons être aimé, appréciés !...on ne dira que nous somme charmant, beau, (belle) !aussi s’abandonnerons-nous sommes résistant à cette existence qui nous dévierons plus vite : quelle vie !quelle jeunesse ! nous devions acquérir la puissance de décision pour passer à des expériences sans limite, à une confiance sans bornes. Ainsi nous ferions des rêves d’avenir incroyables. L’éducation, le sentiment des devoirs et la famille sont de très forte sentinelle.il n’ya pas d’absolution sans pénitence "Un enfant après être amusé dans un champ à crié : au secours !pour déranger des travailleur, fut dévorer un bon jour par un ours sans que ceux qu’il avait trompés si souvent cru cette fois aux cris réels qu’ils poussaient". Il en set de même comme nous de savoir faire, de s’abstenir et d’éviter le mensonge, et d’être sincère, honnête et le dévouement. Chaque jour on découvre dans la science (connaissance) un charme nouveau, une volupté inconnue. Le cerveau n’admet ni travaille, ni souvenir, rien de ce qui pourrait le distraire de l’unique pensée qu’on lui offre sans cesse. L’existence n’est plus que l’accomplissement réitéré d’un désir continu l’âme n’est plus que la vestale chargée d’en retenir le feu sacré de l’amour et du devoir. Soulevez tout droit l’index après la lecture et faite le reste de la prière (7) sept à (12) douze fois et enfin la croix. Lettre écrit par le Kunsei Zéran Adolphe aux Kaïdiss –ai-whobou.

 

     

                                                                                                                                        Kunsei 

 

        

Zéran Adolphe